Mars 09 : au village des tortues
Suite à des désistements, le village des tortues à Gonfaron (Var) a un besoin urgent de 2 à 3 volontaires pour le mois de Mars 2009. Vous serez logés et nourris par le centre pendant toute la durée de votre séjour.
Nous organisons avec la mission des jeunes au Togo un chantier reboisement de 3 semaines qui se déroulera du 16 Juillet au 6 Août 2009.
Afin de bénéficier de tarifs intéressants auprès des compagnies aériennes pour les billets d¹avion, vous pouvez dès à présent nous envoyer vos dossiers d¹inscription.
Pour ces 2 chantiers, je vous joins les feuilles d¹information.
Pour tous renseignements complémentaires, je reste à votre disposition. Vous pouvez me contacter soit par mail à info@apasdeloup.org ou par téléphone au 04 75 46 80 18.
Printemps 2009 : au centre de soins pour animaux "La Dame Blanche"
Le centre de soins ³La Dame Blanche² à Orbec (Normandie) a besoin de 3 volontaires pour les mois de Mars, Avril et Mai 2009. Vous serez logés par le centre pendant toute la durée de votre séjour. Votre nourriture est à votre charge.
Contacts
Anne, secrétaireA Pas de Loup, des volontaires pour la nature12, rue Malautière26220 DieulefitTel/fax : 04 75 46 80 18info@apasdeloup.org
La page qui suit présente le programme 2005 et le programme 2003. Le site www.apasdeloup.org présente toute l’actualité.
Programme 2005
En France
– Loupastres, des bénévoles pour les bergers et les loups dans les Alpes
– La surveillance des Phoques en Baie de Somme
– Le suivi des oiseaux migrateurs dans les Pyrénées Basques
– l’aide au Centre de soins pour la faune sauvage en
Normandie
– l’entretien d’un plateau calcaire favorable à l’installation du Tetras
lyre dans le Vercors
– la sauvegarde des Tortues d’Hermann dans le Var
A l’étranger
– la protection des tortues marines en Grèce
– la protection des Aigles de Bonelli au Portugal
– l’assistance aux gardes du Parc National des Abruzzes en Italie
– La surveillance et étude des Vautours fauves en Israël
– Travail dans une ferme-conservatoire au Costa Rica
– Reboisement au Togo (si l’atmosphère s’y prête)
– Protection des tortues marines au Costa Rica
– Protection des Iguanes au Honduras
Pour des WE en France
– restauration de la Montagne de la Lance en Drôme (4-5 juin)
– inventaire loges à chouettes en Drôme (avril)
Demandez le programme détaillé !
Légendes
CC : Centres de soins, centre d'élevage pour relâchers en milieu naturel, centre de visiteurs
SC : Etudes scientifiques en vue de conservation, avec quelques actions de sensibilisation des visiteurs ou de la population locale
EN : Entretien de milieux naturels
TO : Surveillance des impacts du tourisme dans des zones protégées ou fragiles
HO : Activités humaines favorables au maintien de la biodiversité
France 2003
L’ENTRETIEN D’UN PLATEAU CALCAIRE FAVORABLE A L’INSTALLATION DU TETRAS LYRE DANS LE VERCORS
– EN
– Où ? La forêt domaniale du Vercors (entre 900 et 1600 m d’altitude), sur la commune de St-Agnan-en-Vercors (26).
Qui ? La Réserve Naturelle des Hauts Plateaux du Vercors, des techniciens et ouvriers de l’Office Nationale de la Forêt de la Drôme pour la partie technique ; un encadrant d’A Pas de Loup et des intervenants naturalistes pour la partie pédagogique.
Quel est le contexte ? Les effectifs de Tétras-lyres stagnent voire régressent sur les plateaux du Vercors depuis quelques années, et la zone de présence des oiseaux aurait tendance à se réduire. Plusieurs causes de régression ont été identifiées (fréquentation touristique, chasse, prédation naturelle, régression des biotopes favorables au Tétras-Lyre...). Le facteur limitant paraît être le manque de couvert végétal de 0 à 1 m.
– Quelle action ? Il s’agit d’entretenir une « pelouse » si l’on souhaite la conserver favorable à la présence du Tétras Lyre. Egalement riche en orchidées et gentianes, cette zone fait partie de la Réserve naturelle des Hauts-Plateaux du Vercors... et semble intéresser également un habitant des Alpes qui regagne lentement son territoire ancestral : le loup.
– Et moi ? Le travail consiste à éliminer certains arbres et arbustes à l’aide de débroussailleuses. Afin de comprendre l’intérêt du chantier et la richesse du milieu, des balades naturalistes sont organisées dans les environs avec des thèmes variés (botanique, ornitho, faune etc.).
Quand ? du 24 août au 6 septembre.
Quel profil pour le volontaire ? À partir de 18 ans. Etre en bonne forme physique. 14 participants. Le chantier s’ouvre cette année sur l’international et plusieurs places sont réservées pour des volontaires étrangers. Langues : français/anglais.
– Combien ça coûte ? La participation aux frais est de 30 euros (gratuit pour les étrangers) comprenant l’encadrement pédagogique et naturaliste, un hébergement rustique dans un cadre naturel préservé, les repas et toutes les activités durant les semaines.
ACCUEIL EN FERME BIODYNAMIQUE, (50) NORMANDIE
– HO
– Où ? Près du Mont St Michel, dans la Manche (50).
– Qui ? James, un producteur/éleveur qui fait tout pour le respect de l’agriculture « bio » et selon la philosophie anthroposophique de Rudolf Steiner.
– Quel est le contexte ? Sa structure est trop petite pour financer les coûteuses inspections permettant d’obtenir un label bio, AB ou Nature & Progrès par exemple. Il n’en demeure pas moins un exemple et une mine de savoirs et de savoir-faire, pour la sauvegarde de la biodiversité. Mais pour cela, vous devez être prêt à comprendre le fond du problème....
– Quelle action ? Il a fait parler de lui en 1999 car il s’est opposé au traitement (et non pas vaccination) de ses quatre belles vaches « Froment du Léon » contre le varon, insecte dont les larves s’accrochent sur les poils, qui sont léchés par la vache. Les larves ingérées traversent les chairs pour ressortir sous la peau, avant de s’envoler. Et tout ce processus se fait sans conséquence notoire pour la santé de l’animal ni de l’homme, mais laissant des traces à la peau, récupérée gratuitement à l’abattoir ou par l’équarrisseur... Le traitement rendant le lait toxique, comme précisé sur la notice, durant le mois suivant l’injection, James a fait le choix de ne pas empoisonner ses clients. De plus, il ne veut pas non plus contribuer à la disparition d’une espèce animale en éradiquant cet être vivant ayant un rôle dans la chaîne écologique.
– Et moi ? Nous vous proposons de l’aider tout en apprenant le métier, et de conserver une trace écrite de la méthodologie employée. Les tâches sont variées et dépendent de la saison : fenaison, participation à la fabrication et au brossage des fromages, nourrissage des animaux (porcs, vaches, poules), tous de race rustique, travaux des champs et d’entretien (taille des haies, réparation des clôtures, etc.), éventuellement traite des vaches et préparation des repas.
– Quand ? 2 semaines minimum, toute l’année.
Quel profil pour le volontaire ? 18 ans minimum. 2 personnes maxi en même temps. Motivation pour l’agriculture indispensable.
– Combien ça coûte ? Participation aux frais : 3 euros par jour. Transport à votre charge. Hébergement et fromage de la ferme fournis.
CENTRE DE SOINS ET FERME NATURE "DAME BLANCHE" (14) NORMANDIE
– CC
– Où ? Au sud de Lisieux (14), dans le Pays d’Auge.
– Qui ? La Dame Blanche est une association loi 1901, créée en 1986, de protection de la nature et un centre de soins de la faune sauvage blessée, recueillie dans l’ouest de la France.
Quel est le contexte ? Chaque année, plus de 350 animaux sont recueillis et soignés par ce centre : rapaces blessés dans des fils électriques, passereaux tombés du nid, jeunes mammifères orphelins après la chasse, animaux sauvages de compagnie abandonnés, etc.
Quelle action ? Depuis sa création, elle a soigné et remis en liberté dans la nature plus de mille oiseaux ou mammifères. Elle joue un rôle essentiel pour la survie de nombreuses espèces menacées.
Et moi ? Le centre a besoin de vous pour le nourrissage des animaux recueillis et les soins infirmiers (au printemps surtout), ainsi que pour l’entretien des cages. La Dame Blanche a aussi une Ferme-Nature, véritable Conservatoire de races domestiques et d’ornement, qui vient financer le Centre de Sauvegarde. Durant toute l’année, vous y nourrissez les animaux et vous pouvez participer à l’accueil du public (surtout durant l’été). En général, la matinée est occupée aux soins et nourrissage, et les après-midi au bricolage. Maintenant que la Ferme Nature fonctionne de manière satisfaisante, il s’agit de rénover les grillages et cages un peu vétustes, de construire de nouvelles volières d’envol et de rééducation pour les rapaces, et d’aménager la nouvelle infirmerie.
– Quand ? Toute l’année, mais conditions rustiques en hiver ! A partir de 5 jours.
– Quel profil pour le volontaire ? A partir de 16 ans avec autorisation parentale pour les mineurs. 8 bénévoles durant l’été et 4 maxi en même temps le reste du temps. Travaux chacun à son rythme. Pas de compétence requise, sauf l’amour des animaux. Contacts nombreux avec les animaux domestiques de la ferme. Si vous vous sentez l’âme d’un bricoleur et si le travail de ferme ne vous fait pas peur, la Dame Blanche vous recevra à bras ouverts.
– Combien ça coûte ? Frais de transport et nourriture à la charge du participant. Possibilité de camping ou de logement rustique à l’étage de l’infirmerie (frigo, réchaud et douche disponibles). Avoir un véhicule personnel de préférence mais possibilité de venir par les transports en commun depuis Lisieux. Epicerie à 1 km.
ENTRETIEN DES PELOUSES SECHES EN CHARENTE-MARITIME
– EN
– Où ? Dans une Réserve Naturelle Volontaire des pays d’Aunis et de Saintonge, près de Saintes (17).
– Qui ? Association Nature-Environnement 17, Société pour l’étude et la protection de la nature en Aunis et Saintonge
Quel est le contexte ? Il existe plusieurs espaces naturels dans cette région et notamment la Réserve Naturelle Volontaire de Château-Gaillard et de la Massonne (près du Marais de Brouage). La première Réserve présente trois unités écologiques distinctes : une zone boisée, une zone humide et des pelouses sèches calcicoles. Ces pelouses sont actuellement menacées de disparition (50 à 75% de surface en moins depuis la seconde guerre mondiale) et inscrites à l’annexe I de la Directive « Habitats » pour leur richesse en flore (orchidées entre autres) et en invertébrés : 20 lépidoptères ( papillons) et 18 orthoptères répertoriés.
– Quelle action ? L’entretien et la restauration des milieux naturels sont les priorités de l’association Nature Environnement 17 afin de préserver la richesse patrimoniale des biotopes menacés.
– Et moi ? Au programme de ces chantiers figurent le débroussaillage des pelouses qui évoluent naturellement vers une strate arbustive : élimination des genévriers, ronciers et prunelliers, et arrachage de saules dans le marais. Des naturalistes et des gestionnaires d’espaces naturels vous feront aussi découvrir les zones remarquables de ce littoral.
– Quand ? du 14 au 21 septembre 2003.
– Quel profil pour le volontaire ? 6 à 10 participants de plus de 18 ans.
– Combien ça coûte ? Les volontaires sont logés dans une maison et encadrés. La nourriture est offerte.
MIGRATION DANS LES PYRENEES BASQUES : TRANSPYR !
– SC
– Où ? Trois sites majeurs du Pays Basque : les cols de Lizarrieta, Lindux et Organbidexka dans les Pyrénées Atlantiques.
– Qui ? Organbidexka Col Libre (OCL), une association de plus de 3000 membres.
– Quel est le contexte ? Cette zone de migration est l’une des 3 voies de passage des migrateurs et le point de concentration le plus important en France. Elle est donc un indicateur certain de l’évolution des populations des oiseaux migrateurs européens. Il est à noter par exemple un déclin des Pigeons ramiers, les « Palombes », dont la chasse est une tradition fortement ancrée dans cette région et en Espagne. Ce prélèvement annuel très important accentue l’handicap de la diminution des territoires de reproduction et de nourrissage de qualité, occupés par l’agriculture intensive.
– Quel action ? OCL fait l’inventaire et le suivi des espèces migratrices passant par les couloirs des cols de la chaîne de montagnes.
– Et moi ? OCL fait appel à des bénévoles pour le suivi. Ces observateurs, débutants ou confirmés, font l’inventaire des rapaces (plus de 15 espèces par saison), palombes, cigognes noires et blanches ou grues cendrées qui partent vers la Méditerranée ou l’Afrique. Durant la période estivale et de chasse à la palombe, actions de sensibilisation des visiteurs sur les migrations et les impacts de la chasse.
– Quand ? Du 15 juillet au 15 novembre à Organbidexka, et du 15 septembre au 15 novembre pour Lindux et Lizarietta. A partir d’1 semaine.
– Quel profil pour le volontaire ? A partir de 18 ans. 14 bénévoles maximum en même temps. L’observation requiert de la patience, des yeux peu fragiles. Etat statique. Peu physique.
– Combien ça coûte ?
A Organbidexka - hébergement dans le refuge « La Ruche » et participation aux repas : 10 euros/jour.
A Lindux - campement en autonomie dans un bois (isolement et passages de migrateurs garantis !). Venir avec votre tente et votre nourriture !
A Lizarietta - campement en autonomie dans un pré avec café-épicerie à proximité pour le ravitaillement.
Europe 2003
SUR LE FRONT DE LA NATURE DANS LE PARC NATIONAL DES ABRUZZES
– TO
– Où ? Au sud de Rome, en Italie.
– Qui ? Les gardes du Parc National des Abruzzes.
– Quel est le contexte ? Le Parc National des Abruzzes est un lieu unique de conservation de la nature (forêt séculaire, ours...). Il demande donc une surveillance et une protection permanente afin d’éviter tout braconnage, commerce clandestin de bois ou dégradations par les touristes.
– Quelle action ? Le Parc National accueille des volontaires pour assister des chercheurs, des techniciens et des gardes du Parc, dans des activités de contrôle, de prévention, d’éducation, d’entretien et de suivi de faune.
– Et moi ? Parmi les activités les plus intéressantes : contrôle des populations au moyen de télémétrie, recensement et protection de la faune, contacts avec le public, reportages photographiques... Et sinon, entretien des sentiers, des clôtures et de la signalétique ; surveillance des zones de protection intégrale.
– Quand ? du 01/03 au 21/03 (21 j) ; du 22/03 au 05/04 (14 j) ; du 06/04 au 12/04 ( 7j) ; du 13/04 au 3/05 (21 j) ; du 4/05 au 10/05 (7j) ; du 11/05 au 24/05 (14 j) ; du 25/05 au 14/06 (21 j) ; du 15/06 au 05/07 (21 j) : du 06/07 au 19/07 (14j) ; du 20/07 au 02/08 (14 j) ; du 3/08 au 23/08 (21 j) ; du 24/08 au 13/09 (21 j) ; du 14/09 au 27/09 (14 j) ; du 28/09 au 11/10 (14 j) ; du 12/10 au 18/10 (7 j) ; du 19/10 au 08/11 (21 j) ; du 09/11 au 22/11 (14 j) ; du 23/11 au 29/11 (14 j) ; du 14/12 au 27/12 (14 j) ; du 28/12 au 17/01/2004 (21 j).
– Quel profil pour le volontaire ? Parler italien si possible pour une meilleur intégration dans l’équipe, ou anglais. Avoir plus de 18 ans. 15 volontaires par période.
– Combien ça coûte ? les volontaires sélectionnés devront en arrivant payer la somme de 100,00 € pour un séjour de 7 jours, de 125,00€ pour un séjour de 14 jours et de 150,00€ pour un séjour de 21 jours, comprenant la nourriture et l’assurance. Logement fournis dans un gîte et parfois en refuge avec dortoirs. Les repas sont préparés en commun. Transport à charge des participants.
– Formalités ? Pièce d’identité. Réservation 2 mois à l’avance minimum.
LA PROTECTION DES AIGLES DE BONELLI AU PORTUGAL
– HO/SC
– Où ? Dans le Parc Naturel International du Douro au nord-est du Portugal, à la frontière avec l’Espagne.
– Qui ? A. Monteiro, biologiste dans le parc.
– Quel est le contexte ? Ce biologiste est chargé du suivi et de la protection des populations d’oiseaux de falaise, principalement des Vautours, des Aigles royaux et des Aigles de Bonelli. Depuis deux ans, des chantiers sont co-organisés avec A Pas de Loup et rencontrent un grand succès du fait de la qualité de l’accueil et des activités proposées. Cette année, 5 chantiers vous sont proposés pour agir en faveur de l’Aigle de Bonelli.
– Quelle action ? Pour cette dernière espèce, il tente de rénover et de repeupler des pigeonniers traditionnels dans les vallées où nichent les 14 couples de Bonelli, afin d’accroître le nombre de pigeons sauvages de falaise, car ils sont la deuxième proie en quantité pour ces aigles. Depuis 1997, le parc a rénové plus de 100 de ces constructions, mais plus de 500 sont encore abandonnés, dont certains en ruine.
– Et moi ? Il s’agirait donc pour les volontaires, d’une part de remettre en état des pigeonniers, et d’autre part de surveiller l’accès aux nids par les visiteurs. Plusieurs après-midi seront consacrées à la découverte du Parc Naturel avec des gardes ou biologistes du parc (balades, observations des rapaces, affûts aux mammifères, baignades etc).
– Quand ?
1) Peredo de Bemposta (Parque Natural do Douro Internacional) - 05/4/03 au 19/4/03 10-15 personnes.
2) Algodres (Côa Valley SPA) - 28/6/03 au 13/7/03 5-8 personnes (dans une zone du parc très sauvage !)
3) Cova de Lua (Parque Natural de Montesinho : Parc naturel où est présent le Loup) - 19/7/02 to 3/8/03
10-20 personnes
4) Muxagata (Côa Valley SPA) 16/8/02 au 31/8/03, 10-20 personnes
5) Santa Comba (Côa Valley SPA) - 1/9/03 au 16/9/03 10-20 personnes
– Quel profil pour le volontaire ? Avoir plus de 18 ans. 10 à 15 personnes. Condition physique nécessaire pour la restauration des pigeonniers. Un intérêt pour la conservation et l’étude des oiseaux. Anglais de base ou espagnol.
– Combien ça coûte ? Transports locaux, logement, excursions et encadrement gratuits. Nourriture à votre charge (environ 3 euros par jour) ainsi que le trajet en train de nuit ou en bus (entre 100 et 200 euros)
– Formalités ? carte d’identité.
MONDE 2003
PEPINIERE ET EDUCATION A L’ENVIRONNEMENT AU KENYA
– EN
– Où ? Dans les villages au pied du Mont Kasigau, près de la frontière avec la Tanzanie et du Parc National de Tsavo Ouest, un des plus riches en faune africaine. Le milieu naturel est du bush et de la savane arbustive dans la plaine et de la forêt tropicale humide sur la montagne, ce qui en fait une zone de conservation intéressante au niveau de la biodiversité.
– Qui ? Taïta Discovery Center (TDC), un camp d’accueil de volontaires anglo-saxons est à l’origine de ce projet, mais ce sont les villageois de Kasigau qui ont repris la gestion des pépinières en créant des comités responsables comme le Club des Jeunes pour l’Environnement de Mungulé.
– Quel est le contexte ? Cette zone de bush et de savane est aride. Les habitants utilisent le bois des acacias pour faire du charbon et se chauffer. Or, ces acacias mettent longtemps pour se régénérer et on assiste à un déboisement progressif et à l’érosion des sols, qui s’aggrave avec le pâturage de quelques troupeaux de buffles des ranchs environnants.
– Quelle action ? Ce chantier a pour objectif de remplacer les arbres utilisés pour le bois de chauffe, d’instaurer l’idée de durabilité dans l’utilisation des ressources et de sensibiliser les enfants, ainsi que les adultes à la préservation de leur environnement.
– Et moi ? Pour les volontaires, ce sera l’occasion de poursuivre le lancement de la première pépinière et si nous sommes assez nombreux d’en mettre en place dans les autres villages, avant un futur chantier de plantation fin décembre 2003. Parallèlement au chantier, vous participerez à des conférences, des discussions et autres projets de sensibilisation à la protection de la nature dans les écoles. Les compétences de chacun peuvent ici être un atout pour éviter le braconnage du bois et des animaux (impalas, gereneuk, antilopes et gazelles diverses), et prévenir une éventuelle reprise du commerce de l’ivoire d’éléphants. Une sortie de récolte de graines avec un naturaliste local sera l’occasion de découvrir la végétation, l’avifaune, les traces de la faune locale et peut-être d’observer des antilopes, des girafes ou des éléphants qui s’approchent souvent des cultures de maïs.
– Quand ? Minimum 4 semaines, toute l’année
– Quel profil pour le volontaire ? A partir de 18 ans (16 ans si accompagné). Aucune compétence particulière n’est exigée, mais un petit travail de préparation pour les actions de sensibilisation avant de partir. 4 à 8 participants.
[Une participation ?] à l’architecture locale (brique en terre et chaume) revient à la communauté. Pour un séjour d’une semaine, dont 5 jours en autonomie dans une banda à Kasigau et 2 jours à TDC, nourriture et transferts compris, coûte 135 euros. Dans les villages de Kasigau, il faut compter 4 euros par jour pour la nourriture. Le vol France/Kenya coûte entre 550 et 700 euros.
– Formalités ? Passeport en cours de validité ; un visa à obtenir à l’aéroport d’arrivée contre 50 euros, le vaccin contre la fièvre jaune.
PROTECTION DES TORTUES MARINES AU COSTA RICA
– CC/SC
– Où ? Dans les forêts tropicales humides de la région de Talamanca, au sud-est du Costa Rica, et plus précisément sur la plage de Gandoca, dans la Réserve de Faune nationale Gandoca-Manzaillo.
– Qui ? ANAI, une ONG soutenant la biodiversité et les économies alternatives, comprenant des fermiers, des techniciens et des scientifiques.
– Quel est le problème ? Braconnage et prélèvement des œufs ; plus récemment, érosion de la plage.
– Quelle action ? Etude scientifique et programme de conservation, ainsi qu’actions de sensibilisation avec les écoles.
– Et moi ? Les bénévoles participent aux patrouilles de surveillance nocturne, prennent des mesures, marquent les tortues, font des prélèvements d’œufs, mais aident aussi les équipes s’occupant des couveuses, au suivi des œufs, à l’entretien ou à la construction d’une nouvelle « crèche ».
– Quand ? Début mars à fin juillet, avec un pic de ponte en avril/mai. A partir de 15 jours.
– Quel profil pour le volontaire ? 18 ans minimum, parler espagnol et être en bonne condition physique. Les participants sont répartis dans les parcs selon les besoins du moment ou la demande spécifique du bénévole.
– Combien ça coûte ? 15 $/j (logement et nourriture au camp de base), 6 $/j (logement au camping et nourriture en sus), 30 $/j (logement et nourriture en lodge de 2 ou 3 lits).
25 $ d’inscription à l’association locale. Transport à votre charge.
– Formalités ? un passeport valide.
FERME CONSERVATOIRE DANS UNE RESERVE AU COSTA RICA
– HO
– Où ? Dans la Réserve naturelle de Talamanca, dans la ferme conservatoire de Finca Lomas.
– Qui ? ANAI, l’association qui gère également le projet d’étude des tortues marines.
– Quel est le problème ? Au Costa Rica, les vestiges de forêt primaire sont mis en danger par la pression humaine.
Les fermiers coupent la forêt pour créer des plantations de bananes.
– Quelle action ? ANAI a acheté 200 Ha dont la moitié est une forêt primaire, l’association a ainsi crée un refuge pour la faune et la flore. Finca Lomas possède également une large variété d’arbres fruitiers et rassemble des graines pour établir des collections. La ferme si situe à une heure des sites de pontes des tortues marines, il est donc également possible de les observer pendant les journées libres.
– Et moi ? le volontaire participe à l’étude et à la surveillance de la Réserve. Il entretient également les plantations, collecte les graines etc. De nombreux projets sont possibles : inventaire Faune / Flore, entretien des sentiers, cartographie, jardinage etc. Un dossier très complet vous sera adressé, suite à l’envoi de votre fiche de pré-inscription.
– Quand ? un mois minimum, toute l’année.
– Quel profil pour le volontaire ? pouvoir communiquer en anglais ou en espagnol, aimer les travaux manuels et la vie en communauté.
– Combien ça coûte ? 160 euros (frais d’inscription auprès d’ANAI), 6 euros par jour pour l’hébergement et la nourriture. Le vol est à la charge du participant.
– Formalités ? un passeport valide.
PEPINERE ET PLANTATION D’ARBRES AU GUATEMALA
– HO
– Où ? San Andrès Sajcabaja, au coeur de l’altiplano Maya, à la Posada San Rafaël.
– Qui ? Olio Mendez, propriétaire de la Posada, franco-guatémaltèque originaire de l’altiplano.
– Quel est le problème ? Au Guatemala, la déforestation avance, les forêts originelles reculent. La population locale n’est pas ou mal informée des risques naturels liés à ce déboisement et des conséquences de la désertification progressive sur la biodiversité et la sécurité alimentaire à moyen terme.
– Quelle action ? La ferme auberge agro-écologique, Posada San Rafaël, est un exemple d’éco-développement durable pour la région où elle se trouve. Des plantations ont été réalisées, les visiteurs, les voisins et les scolaires sont sensibilisés au problème de déforestation.
– Et moi ? Le travail consistera à mettre en place une pépinière et à planter des arbres à la Posada et chez les villageois auxquels les volontaires rendront visite au cours d’excursions. Le temps de travail sera de 4 heures le matin, les après-midi seront réservées aux balades-découvertes, aux moments de détente (baignade, équitation) etc.
– Quand ? du 6 au 27 septembre 2003 (dates approximatives).
– Quel profil pour le volontaire ? A partir de 18 ans, être en bonne forme physique. 6 à 10 participants.
– Langues : espagnol et français.
– Combien ça coûte ? la participation aux frais est de 100 $ pour l’hébergement. Les frais de nourriture sont à la charge des participants (environ 50 $ pour les trois semaines).
– Formalités ? un passeport valide. Pas de visa ni de vaccination. Vol à la charge des participants (A/R proposé par SAÏGA à 684 euros TTC).
Le village des tortues à Gonfaron (Var) a, suite à des désistements, un besoin urgent de 2 à 3 volontaires pour le mois de Mars 2009. Vous serez logés et nourris par le centre pendant toute la durée de votre séjour.
Nous organisons avec la mission des jeunes au Togo un chantier reboisement de 3 semaines qui se déroulera du 16 Juillet au 6 Août 2009.
Afin de bénéficier de tarifs intéressants auprès des compagnies aériennes pour les billets d¹avion, vous pouvez dès à présent nous envoyer vos dossiers d¹inscription.
Pour ces 2 chantiers, je vous joins les feuilles d¹information.
Pour tous renseignements complémentaires, je reste à votre disposition. Vous pouvez me contacter soit par mail à info@apasdeloup.org ou par téléphone au 04 75 46 80 18.
Cordialement,