Bien sûr, je ne parle pas de l’humour, propre à chaque personne, mais de la moquerie, qui insiste sur les faiblesses plus que sur le fond, et du paternalisme, qui n’éclaire pas, mais dirige, et de la division, qui ne nait pas du collectif mais de l’opinion personnelle. Bien sûr, l’un des intérêts de la raillerie est d’attirer l’attention, et de soulager la frustration ? Mais ne devons nous pas aller au delà de cela justement ? Si nous aimons la nature, l’équilibre et l’écologie, ne devons-nous pas essayer d’être nature et singularité ?
D’ailleurs, comment se fait-il que nous opposions encore souvent droit pénal et droit naturel ? Sur quel concensus avons-nous accepté d’oublier que le droit pénal se nourrit du droit naturel ?
Et puis réalisons combien certaines questions clefs ne sont que peu abordées (ou pas assez). L’éducation, par exemple, n’est-il pas le premier sujet à résoudre ? Que décideraient une génération à qui on aurait donné les outils de développement et de cognition ? Qui parle de moratoire populaire afin de repenser entièrement le contenu éducatif à la lumière des connaissances cumulées ? Et combien d’enfants de "merveilleux militants" vivent personnellement et négativement les paradoxes de leurs parents ?
Bref, comment faisons nous si souvent par oublier ce que nous sommes : insuffisants, amputés, réduits ?
Quand je pense que l’éducation aurait, par le cumul des connaissances humaines, le moyen de ne faire que des "Léonard de Vinci" à partir de notre potentiel ! Ne serions nous pas, parfois, en train de faire croire que nous aimons la vie, alors que nous manquons de vie ?
Bonjour, J’étais abonné à ce journal et j’ai stoppé, non pas que le ton me gêne, même si ce journal égratignait une assoc dans lequel je suis ... j’accepte la critique, mais quelquefois ça tombait dans la facilité et pourtant certains point de vue, certaisn articles étaient bien foutus et loin d’être désargumentés.
Mon autre point noir avec la décroissance est un sujet que dans votre article vous mettez de côté aussi, vous parlez d’humains, la décroissance était omnubilé par l’humain comme si nous étions l’espèce à sauvegarder, cela me choque beaucoup pour une cause qui veut voir le respect d’autrui .... d’autres humains seulement ? Moi je milite pour l’écologie, enfin j’essai, mais pour ma part cela implique aussi un combat pour la cause animale, combat que je vois nullement dans la décroissance.
Un autre point qui divise pas mal aussi, c’est la problématique démographique, apparemment ce sujet il ne faut pas l’évoquer, on peut continuer comme ça, j’entends par là accroitre l’espèce humaine sans soucis ... euh sans vouloir passer pour un donneur de leçon virtuel mais si on ovre un peu les yeux je ne conçois pas que cela va s’arranger, la planète est malade de l’être humain ... doit on continuer à s’accroitre bêtement ... car faut pas se leurrer non plus le comportement des humains ne changera pas ! Voilà ce que je tenais à dire, maladroitement peut être, maintenant j’attends quelques foudres de votre part ;-)